La-vie-est-un-long-chemin-sans-fin.

L'humain est bloqué, enfermé dans la troisième dimension.

Nous ne naissons pas avec ce blocage, nous le construisons petit à petit. Au jeune âge, les enfants n'ont pas ce blocage, ils sont encore libres, ils jouent avec leurs petits amis invisibles et nous pouvons les entendre dire des chose surprenantes comme: "Quand j'étais grand j'étais menuisier". L'adulte traduit et corrige l'enfant: "Quand tu seras grand, tu veux devenir menuisier", c'est l'éducation, l'enfermement.

L'éducation de l'enfant l'enferme dans le même moule que ses parents.

Le mental de l'humain lui bâtit une carapace pour le protéger de la peur de l'invisible, de la risée de ses congénères, de la condamnation, du rejet. Il s'y sent en sécurité. Comme pour la tortue, une carapace nous alourdit, nous ralentit, nous limite à un espace physique restreint et qui nous empêche de voir ce qui se passe dans les autres mondes autour de nous.

Il faut un déclic pour briser ce blocage.

Le déclic se produit différemment d'une personne à l'autre. Dans tous les cas il s'agit d'une perception certaine de l'invisible, une assurance, une confirmation qu'il existe un autre monde qui nous entoure, en même temps que le monde physique.

Cela peut être dans des rêves où nous pouvons rencontrer nos guides ou une personne chère disparue qui nous parle ou pas, des "flashes", des souvenirs de ses vies passées, des pensées, des intuitions qui nous viennent de l'on  ne sait où, mais qui nous submergent. 

Il faut en savoir plus, il faut aller voir plus loin, c'est l'éveil.